« Obsius Lux » est un lustre majestueux fait d’une résille de bois d’aubépine sur laquelle la plasticienne a disposé des pampilles en obsidienne d’Arménie, taillées par pression selon les techniques utilisées par les hommes préhistoriques.
L’œuvre a reçue un double prix au concours international du FIMA
« Si les hommes préhistoriques taillaient la pierre pour leurs besoins, nous la taillons toujours, pour nos désirs … » Marion Fillancq.